Depuis de nombreuses années, les agriculteurs ont constaté qu’en appliquant les TMM dans les bâtiments d’élevage, ils avaient, notamment, moins de dégagements d’ammoniac (moins d’odeurs). En 2020, une étude réalisée en collaboration avec l’INRAE transfert sur la ferme de Grignon a montré que du lisier ensemencé aux TMM dégage deux fois moins d’ammoniac comparé à du lisier non ensemencé (en flux cumulé), après épandage au champ. Cette étude a également montré une diminution des émissions de protoxyde d’azote, important gaz à effet de serre.