Des essais de compétition sur boîte de Pétri menés en interne ont montré un impact positif des micro-organismes des TMM sur des micro-organismes pathogènes (Fusarium sp.). En effet, les TMM présentent un fort potentiel de lutte biologique à travers la compétition pour l’espace et les ressources nutritives ainsi que par la synthèse de molécules bioactives. Une étude réalisée en conditions contrôlées est lancée depuis 2021, en collaboration avec JS Consulting, sur 3 pathosystèmes : la septoriose du blé, le mildiou de la pomme de terre et la pourriture de la laitue.